Billet de veille: identité professionnelle du bibliothécaire

Le billet de veille de l’identité professionnelle du bibliothécaire aborde les termes de la collaboration, du rôle, des habiletés et compétences du bibliothécaire et de quelques curiosités. La recension de la littérature de ce bulletin couvre les six derniers mois et plus d’une cinquantaine de références ont été retenues.

Pour commencer, les membres de l’ACRL Research Planning and Review Committee ont proposé une synthèse des tendances dans les bibliothèques académiques en 2020. Cette synthèse résume les sujets d’actualité en bibliothéconomie aux États-Unis au cours des deux dernières années. Les faits saillants décrits sont : 1) les nouvelles compétences pour un nouveau leadership ; 2) les systèmes de bibliothèques intégrés ; 3) les outils d’analyse en apprentissage et l’intelligence artificielle  (voir également Ali et collaborateurs [2020] pour des bibliothèques au Pakistan, Wójcik [2020] pour la nature éthique et ses problèmes pratiques pour son implantation); 4) le libre accès avec la transition et la transformation des modèles ; 5) les services d’aide à la recherche ; 6) la justice sociale et le sens critique envers la profession et la formation à distance ; 7) les médias de diffusion en continu et 8) le bien-être des étudiants.

Cox et collaborateurs (2019) ont réalisé une étude sur l’avenir des bibliothèques universitaires au Royaume-Uni selon des bibliothécaires. Les entrevues et le sondage ont révélé une perception d’avenir complexe. Certains bibliothécaires participants ont mis l’accent sur la continuité et sur une conceptualisation durable de l’idée d’une bibliothèque, largement comprise dans toute la société. D’autres ont ressenti un changement dans la manière dont les bibliothèques répondaient aux demandes. D’autres encore considéraient les innovations comme continues et parfois menaçantes. Quelques bibliothécaires estimaient qu’il s’agissait d’un moment critique de changement, ou du moins d’incertitude. Un certain nombre ont perçu un besoin urgent de changement en estimant que les bibliothèques pourraient influencer les décisions des gestionnaires. Des collaborations devraient se créer au-delà de l’environnement des bibliothèques en raison de la complexité du changement. Les professionnels pourraient ainsi mieux réfléchir aux changements en utilisant des modèles plus sophistiqués, plutôt que de simplement faire la compilation de tendances qui sépare généralement les tendances étudiées dans différents domaines, alors qu’en fait les changements sont de plus en plus interreliés.

Collaboration

Glover et Reagan (2020) soulignent la valeur d’un partenariat entre les services de bibliothèque et les équipes de formation continue en médecine du Northeast Georgia Health System (NGHS). Grâce à leur collaboration, les services de la bibliothèque et de la formation continue en médecine offrent un accès rapide aux ressources et aux activités éducatives. Ces informations sur la santé garantissent que le personnel de l’établissement dispose d’informations sur des pratiques fondées sur des preuves pour prendre des décisions éclairées.

Craft et Harlow (2020) donnent un aperçu de la littérature relative aux besoins de communication savante et à la formation dans les bibliothèques universitaires. Ils discutent du lancement du programme de développement professionnel de l’Université UNC de Greensboro en détaillant les modules d’apprentissage disponibles et leur format. Ils mentionnent également l’évaluation et les orientations futures du programme. Ce dernier a été implanté grâce à un effort collaboratif et interdépartemental qui rassemble des bibliothécaires des départements de la recherche et des services techniques.

Rôles

Accart (2020) a mentionné que les bibliothécaires ont de réelles compétences dans l’appréhension d’une information surabondante, notamment en termes de médiation. La connaissance des besoins du public s’opère au quotidien en étant au contact avec lui : les échanges réguliers au cours d’une séance de questions-réponses, l’aide et l’orientation dans une collection, l’accompagnement à l’utilisation d’un nouveau dispositif d’information, le prêt de documents ou la recherche d’informations. Ce sont autant de moyens pour connaître ce que le public souhaite, et réaliser par la suite une sélection documentaire ou orienter l’usager vers les services de manière pertinente. C’est là une des vraies spécificités du métier de bibliothécaire qui devrait être renforcée. De plus, tous les métiers qui ont trait aux contenus d’information constituent un potentiel de développement important pour les bibliothécaires et les documentalistes, principalement sur le web : gestionnaire de contenu, gestionnaire de document, animateur de communauté qui gère les réseaux sociaux d’une institution et donc la diffusion des informations. Cherrstrom et Boden (2020) préciseront dans leur revue de la littérature que la curation des contenus est une solution pour tirer parti des informations tout en discernant et en épurant les connaissances pour les bibliothécaires, les professeurs, les éducateurs et les chercheurs. Ainsi, ils peuvent utiliser la curation pour regrouper les personnes, les communautés et les connaissances. Les bibliothécaires doivent apprendre et développer continuellement les compétences en matière de curation et ils doivent développer une identité professionnelle en tant que conservateur des connaissances et des données.

Est-ce que les bibliothécaires sont des acteurs pour lutter contre la désinformation? Deux articles de Damien Belvere traitent ce sujet. L’auteur mentionne que c’est au bibliothécaire-formateur de trouver le bon rapport avec la spécificité disciplinaire de son public étudiant dans le cadre d’un atelier sur les « fake news » ou la désinformation (Belveze 2020a) .Le rôle du bibliothécaire n’est pas d’énoncer ce qui est vrai ou faux mais d’installer le doute et de préparer intellectuellement les étudiants non seulement contre la prolifération des fausses nouvelles mais aussi contre les biais des médias dominants et contre leurs propres préjugés (Belveze 2020b).

Jaggars et Folk (2019) estiment que les bibliothécaires doivent être disposés à aller au-delà des perceptions traditionnelles de formateur et ils doivent collaborer avec le corps professoral et les départements à la conception pédagogique et curriculaire à plus grande échelle. De plus, les administrateurs doivent également réfléchir à la manière dont ils peuvent exercer leur pouvoir en soulignant l’importance de la pensée critique et des compétences informationnelles, et en encourageant la création et le soutien de cadres pour une collaboration à grande échelle avec les enseignants et les bibliothécaires. Lapointe et Castonguay (2020) illustrent un repositionnement majeur des activités en bibliothèque en s’appropriant la formation de la littératie numérique dans le système d’éducation contemporain, et ce, en cherchant à favoriser l’appropriation des usages savants et populaires de la culture numérique.

Lavigueur (2020) mentionne que des disciplines telles que la gestion de l’information stratégique, la gestion des connaissances, la maitrise des métadonnées, l’exploitation du web sémantique, l’analyse de données et l’intelligence artificielle ont été progressivement introduites dans la formation des bibliothécaires. Parallèlement, les métiers en sciences de l’information au Québec ont connu une transformation significative marquée par l’introduction et l’application de pratiques professionnelles liées aux sciences sociales (p. ex : expertises en pédagogie, communication et gestion des compétences), le marketing, la gestion de projet ou les interventions spécifiques dans les milieux communautaires.

Keller (2020) illustre les différentes initiatives du North American Serials Interest Group (NASIG) pour élaborer des recommandations dans le soutien à la préservation numérique, et comment la communauté de l’information peut avancer dans la mise en œuvre et le soutien des initiatives de préservation numérique. Le comité identifie les rôles que peuvent prendre les bibliothécaires et les organisations leurs priorités en ce qui concerne le contenu à conserver et la méthode de préservation préférée.

Nakitare et collaborateurs (2020) analysent les caractéristiques de l’univers de l’information dans lequel les bibliothécaires universitaires au Kenya travaillent actuellement et ils décrivent les rôles émergents. Les données de l’étude ont été recueillies par un sondage en ligne auprès de bibliothécaires de 67 universités privées et publiques du Kenya avec un taux de réponse de 50%. Un bibliothécaire principal par université a été délibérément choisi pour remplir le questionnaire en raison de son expérience et de son expertise. Les résultats ont révélé que les bibliothécaires universitaires jouent désormais dans une large mesure un rôle désintermédié (sans médiation entre l’usager et l’information), allant au-delà de l’information donnée pour responsabiliser leurs utilisateurs.

Maria Tammaro et collaborateurs (2020) décrivent le rôle de l’IFLA depuis ses débuts pour l’éducation et la formation des nouveaux professionnels. Les auteurs précisent que les bibliothécaires ne sont plus ceux qui interviennent dans un rôle passif, mais se sont transformés en agents actifs de la communauté et, en son sein, en « facilitateurs » du savoir. Les bibliothécaires ne sont pas seulement des utilisateurs de la recherche.  Ils contribuent activement à la recherche et ont besoin de capacités pratiques dans leur parcours académique et de réalisation de projets de recherche (voir également Matusiak et Bright [2020]). De plus, la bibliothéconomie est enrichie par de nouveaux aspects technologiques, éthiques et sociaux qui devraient être insérés dans les futurs programmes et feront partie de l’identité du bibliothécaire. La technologie et l’informatique sont fondamentales. Les compétences en enseignement ont également mis l’accent sur les connaissances fondamentales des méthodes de recherche et les capacités critiques dans l’analyse des résultats.

Reed et Carroll (2020) présentent les résultats d’une recension d’un an et demi d’offres d’emploi dans les universités et collèges des États-Unis pour des postes de bibliothécaires en science de la santé et sciences de la vie avec un intérêt pour l’embauche de bibliothécaires capables de soutenir l’enseignement et la recherche. Une analyse qualitative du contenu de ces offres a révélé un chevauchement important entre les qualifications souhaitées et les rôles et responsabilités énumérés pour les postes de bibliothécaire. Les qualifications accordaient une plus grande importance aux compétences traditionnelles des bibliothécaires (ex. : services de référence, gestion de collections, recherche documentaire) plutôt qu’aux domaines d’expertise émergents, tels que les compétences en science des données, l’expérience des subventions et l’évaluation de l’impact de la recherche. Thielen et Neeser (2020) ont analysé des offres d’emploi de 2013 à 2018. Les 177 offres d’emploi (correspondant à 180 postes) aux États-Unis montraient que les bibliothèques universitaires tentaient de recruter des candidats en dehors des champs traditionnels de la profession (gestionnaire de données, conservateur des connaissances et des données) et quelques fois les titres d’emploi n’ont pas le mot bibliothécaire mais plutôt les termes suivants : spécialiste, consultant, « informationiste », curateur, coordinateur et analyste. De plus les auteurs mentionnent qu’il faudrait rendre les postes de professionnels plus diversifiés et inclusifs.

Resnis et Natale (2020) mentionnent que le rôle des bibliothécaires de liaison a évolué avec les changements des priorités institutionnelles et au sein de la bibliothéconomie, parfois de manière proactive et aussi de manière ponctuelle. Il peut sembler aussi que chaque bibliothécaire de liaison a un rôle unique et personnalisé en fonction des responsabilités qu’il sert. Les besoins disciplinaires, l’expertise du sujet et la charge de travail peuvent varier considérablement. Les auteurs proposent des moyens pour montrer l’impact des services de la bibliothèque à l’aide du bibliothécaire de liaison et les considérations à tenir compte pour l’implantation d’un tel service : l’analyse des besoins et l’évaluation du travail du bibliothécaire à travers cinq compétences de base (engagement, formateur, développement de la collection et gestion, soutien à la recherche, soutien à la communication savante et du numérique).

Les professionnels de l’information devraient s’affirmer comme des acteurs essentiels dans la gouvernance de l’information de leur organisation pour Zwarich and Maurel (2020). Afin de devenir des acteurs clés de la gouvernance de l’information et de mieux démontrer la valeur ajoutée de leurs actions, les professionnels de l’information doivent acquérir et mobiliser des compétences en lien avec le pouvoir organisationnel. Ils doivent pouvoir identifier leurs sources de pouvoir et d’influence, et celles des acteurs avec lesquels ils sont (ou devraient être) en interaction.

Batten (2020) décrit la valeur que le bibliothécaire apporte à la rédaction scientifique et à l’édition en améliorant les compétences des chercheurs par le partage des trucs et astuces et accroître ainsi leur autonomie. Le bibliothécaire peut également aider les cliniciens à augmenter le niveau de productivité dans les domaines de l’enseignement et de la pratique clinique. Barker et Phillips (2020) mentionnent que le programme de formation de la bibliothèque médicale de l’Université de Cambridge a été élargi pour inclure une formation et un soutien dans la publication et la présentation des résultats de la recherche. Les auteurs relatent le processus par lequel les nouveaux cours ont été développés et les techniques utilisées par bibliothécaires-formateurs pour comprendre les conventions et les exigences des formes de communication écrite.

Les organisations demandent aux gestionnaires des bibliothèques de justifier leur apport organisationnel, leur plus-value. Wasserman et Berkovich (2020) ont fait des entrevues avec des bibliothécaires travaillant dans les principales universités d’Israël et ils ont décrit les expériences et les tentatives des bibliothécaires pour ajuster leur identité professionnelle et leur rôle en construisant un capital professionnel qui leur confère un pouvoir et une légitimité renouvelée face à ces exigences organisationnelles.

Frederick (2020) porte une réflexion sur la profession et les changements rapides et les compétences requises pour la pratique de la profession. De nouvelles compétences devront être développées. Un scénario plus probable est que les domaines traditionnels de la profession seront intégrés dans un nouveau modèle qui sera complexe, varié, agile et très sensible à l’environnement dans lequel le bibliothécaire évolue.

Compétences et habiletés

DeLong et collaborateurs (2020) présentent la révision des Compétences fondamentales des bibliothécaires du groupe de travail de l’Association canadienne des bibliothèques de recherche au Canada (ABRC). Les bibliothécaires des universités canadiennes sont des professionnels hautement spécialisés possédant des compétences uniques en matière de recherche et de pratique. De plus, ils sont des créateurs, des conservateurs et des gestionnaires consciencieux et dynamiques du savoir créé, généré et préservé grâce aux activités de la bibliothèque de recherche. Les compétences proposées sont :

• L’apprentissage et l’adaptation
• La collaboration
• La consultation et la communication
• La conservation et la préservation
• L’équité, la diversité et l’inclusion
• L’engagement et la participation
• L’évaluation et l’analyse
• Le leadership et la mobilisation
• La vision et l’innovation

Schachter (2019) a réalisé un sondage en ligne et des entrevues en personne auprès de bibliothécaires de Colombie-Britannique concernant les compétences informationnelles critiques et les pratiques pédagogiques en formation (pour Tewell [2018], la maîtrise des compétences informationnelles critiques résulte à une façon de penser et d’enseigner qui examine la construction sociale et les dimensions politiques des bibliothèques et de l’information. Elles mettent en lumière les enjeux de la production et de l’utilisation de l’information afin que les utilisateurs de la bibliothèque puissent réfléchir de manière critique. Certains participants de cette recherche ont décrit des réflexions critiques sur leurs pratiques d’enseignement (par exemple, la capacité de s’engager dans l’application de la pratique des compétences informationnelles critiques et les modèles d’enseignement), alors que de nombreux bibliothécaires ont exprimé le sentiment que les compétences informationnelles critiques ne fonctionneraient pas dans leur milieu.

Federer et collaborateurs (2020) décrivent l’ensemble de cinq compétences clés pour les services de données développées par la Medical Library Association et proposent un programme d’études pour acquérir ces compétences. Pour assurer un support et une assistance dans la culture des données et la science ouverte, il faut : 1) appliquer les principes de la culture des données ; 2) mettre en place et faire le suivi du service de données ; 3) prendre en charge les meilleures pratiques tout au long du cycle des données ; 4) appliquer les méthodes de recherche, l’éthique et les pratiques de la science ouverte et finalement en 5) mettre en place de la formation et des moments de discussion sur des sujets liés aux données.

Meulemans et Matlin (2019) discutent de leadership et de son potentiel d’aide à réaliser les changements nécessaires pour maintenir la prospérité des bibliothèques universitaires. Wong (2019) a étudié le leadership de bibliothécaire de Hong-Kong à l’aide d’un questionnaire en ligne. Le sondage a été établi selon le modèle des compétences en leadership développé pour la Library Leadership and Management Association (LLAMA). Les résultats révèlent comment les bibliothécaires exerçant différents rôles de leadership et comment ils perçoivent ces compétences différemment.

Curiosités

Aharony et collaborateurs (2020) présente une étude des pratiques d’enseignement des compétences informationnelles dans les bibliothèques universitaires israéliennes pour comprendre les méthodes et les approches utilisées par les bibliothécaires dans leur formation et pour savoir si leurs pratiques ont été influencées par le cadre de référence de l’ACRL. La majorité des répondants ont mentionné que le cadre de l’ACRL à une influence mineure sur leur pratique. Les auteurs avancent l’hypothèse que le cadre de l’ACRL n’a pas encore été mis en œuvre en raison de sa nouveauté et du temps nécessaire à prendre pour apporter ces changements à la pratique. Le même constant a été observé dans une étude antérieure aux États-Unis pour l’influence du cadre de référence de l’ACRL (Julien et collaborateurs 2018) auprès des participants. Toutefois, il est rapporté dans l’étude de Julien et collaborateurs (2018) que les bibliothécaires américains considèrent que l’utilisation du cadre de référence de l’ACRL améliore les habiletés d’enseignement, aide à articuler les valeurs des compétences informationnelles, encourage et soutient la collaboration et présente des opportunités de recherche. Aharony et collaborateurs (2020) précisent que les bibliothécaires en Israël sont confrontés à expliquer l’importance de la formation aux compétences informationnelles aux étudiants et aux administrateurs. De plus les bibliothécaires sont frustrés par l’idée qu’ils doivent former des étudiants venant d’horizons différents pour un court laps de temps (une heure). Ils ont également mentionné un manque de coopération avec le personnel académique. Il semble, finalement, que les bibliothécaires ont besoin de la reconnaissance et du soutien des administrateurs.

Wengler et Wolff-Eisenberg (2020) montrent les résultats d’un sondage national en ligne auprès de 1201 bibliothécaires des collèges communautaires aux États-Unis. Les réponses ont révélé une connaissance et une intégration limitées du cadre de l’ACRL dans l’enseignement des collèges communautaires. Les résultats indiquent une ouverture à une adoption future, ainsi qu’un intérêt substantiel pour le perfectionnement professionnel ciblé et une version du cadre adaptée aux campus des collèges communautaires.

Everhart et Anderson (2020) ont étudié le rôle des bibliothécaires pour les étudiants autistes aux États-Unis. Les résultats ont montré que le coaching, combiné aux formations en ligne, est la stratégie la plus efficace pour accroître le développement des connaissances pour ces étudiants.

Burns et Green (2019) ont cherché à déterminer si la stigmatisation liée à la maladie mentale affecte les bibliothécaires universitaires et leur environnements professionnels, y compris la prestation de services aux étudiants. La stigmatisation influence grandement les bibliothécaires universitaires, en particulier en ce qui concerne la divulgation.

Spécial Covid-19 :

Johnson (2020) s’interroge sur l’offre de service des bibliothèques et des éditeurs en ces temps de pandémie. La grande question est de savoir quelles des mesures mises en place se poursuivront lorsque la situation reviendra à la normale.

Dans le monde des bibliothèques scolaires aux États-Unis, Maughan (2020) montrent des initiatives d’offre de service avec des activités virtuelles et de support vidéo et média pour les enseignants par exemple

Quelques suggestions de lecture

The Academic Librarian in the Digital Age: Essays on Changing Roles and Responsibilities

Licensing digital content: a practical guide for librarians , Third Edition

Technology, Change and the Academic Library

Les efforts de collaboration dans différentes initiatives pour les données de la recherche dans ce numéro spécial Research Library Issues: The Data Science Revolution. RLI 298

Le patrimoine numérique et le citoyen numérique dans le numéro spécial Library Technology Reports

Quelques suggestions de visionnement

Comment s’associer avec les administrateurs en faveur des étudiants et de l’utilisation de la bibliothèque. En anglais

Réorienter les services de référence : perceptions et avenir du bureau de référence, résultats d’une enquête à méthodes mixtes auprès des bibliothèques universitaires des États-Unis. En anglais

Références bibliographiques

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